Clap de fin pour la saison 1 de The Last of Us et... waouh... Ca faisait très très très longtemps que j'avais pas été aussi soufflé par une série.
Si comme moi vous ne connaissez pas le jeu vidéo dont la série est adaptée, The Last of Us nous plonge dans un monde dévasté, 20 ans après le début d'une contamination à très grande échelle de l'humanité par un champignon capable de prendre le contrôle de ses hôtes pour en faire des sortes de zombies. Dans cet univers ravagé et désespéré, la série raconte l'histoire de Joel, un survivant au lourd passé, qui est chargé d'escorter Ellie, une étrange gamine de 14 ans, depuis la zone de quarantaine de Boston occupée par une administration fédérale devenue totalitaire, vers une base de la résistance loin dans l'ouest du pays.
Donc pour résumer en deux mots : Pedro Pascal joue à nouveau un combattant solitaire sans attache chargé de protéger un enfant pourchassé par un gouvernement fasciste. Oui, comme dans The Mandalorian, mais avec des zombies 😅
De la première minute du premier épisode, à la dernière minute de la saison, on a adoré suivre cette histoire avec Lili. C'était tour à tour stressant et viscéral et tristement poétique. Parmi les moments forts de cette excellente série, je retiendrais surtout la manière dont le pilote a mis en scène le basculement express du monde dans l'horreur, ce magnifique épisode 3 qui nous a arraché des larmes et tout le passage à Kansas City, si violemment et tragiquement humain.
Si vous avez Prime (ou un accès à des sites peu recommandables des internets), foncez tout de suite voir cette série, c'est chef d'oeuvre !
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