Fast & Furious 9

Il y a 20 ans sortait Fast & Furious, qui racontait l'histoire d'un flic infiltré dans le circuit des courses de rues illégales dans le but de faire tomber un gang de voleurs à haute vitesse et qui finissait par se lier d'amitié avec ceux qu'il était censé mettre sous les verrous. 9 films plus tard, la MÊME série de films nous montre une équipe qui balance des Pontiac dans l'espace avec des pilotes au volant habillés en scaphandre de plongée pour hacker des satellites militaires et des héros tellement forts et indestructibles qu'ils cassent des murs à mains nues quand ils collent des patates dans la tronche des méchants.

Notez qu'on est dans la lignée du précédent hein, niveau délire, mais cette fois-ci on a pas de super soldats avec des nano-augmentations. A la place, on a un monde où Tokyo se compose de 2 rues, où l'Europe fait environ la taille de la Corrèze, ou les lois de la physique disent que tu peux te remettre de n'importe quelle chute tant que tu tombes sur le capot d'une voiture lancée à vive allure et où les aimants semblent dôtés d'une vie et d'une volonté propre.

Bref, Fast & Furious, plus ça avance et plus c'est crétin, mais plus c'est bon. Ce sont des paradoxes sur pellicule... Ou alors c'est que l'ensemble de la chaîne de production est composée d'enfants de 5 ans...

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