On est mi décembre et je ne pouvais pas terminer l'année sans mentionner le jeu vidéo qui aura marqué mon année ludique, même si cela fait des semaines que je repousse ma seconde tentative d'aller au bout de son boss final un brin injuste. Zelda Tears of the Kingdom donc.
Pour moi c'est tout simplement le meilleur Zelda sorti à ce jour. Après l'ère des Zelda classiques, nés de la formule Ocarina of Time, qui étaient toujours d'excellents jeux mais qui suivaient une formule assez figée (2-3 donjons -> twist -> master sword -> 4-5 donjons -> Ganon, avec un nouvel objet débloqué à mi parcours de chaque donjon et qui servait inévitablement aux énigmes suivantes), Breath of the Wild avait radicalement rebattu les cartes en proposant un pur jeu de survie/exploration au scénario minimaliste et quasi sans donjons.
Avec Tears of the Kingdom, Nintendo continue la formule de Breath en rajoutant les ingrédients clés des classiques : on retrouve des donjons et un jeu beaucoup plus scénarisé mais on conserve la liberté et la non linéarité. Et au passage, on fait évoluer la carte d'Hyrule version Breath of the Wild en multipliant la surface explorable par 2,5. Et on rajoute des mécaniques de construction basées sur le fait de coller des trucs à des machins pour créer des armes et boucliers sur mesure et fabriquer des machines infernales.
Le résultat est juste génial. Le jeu est immense, l'histoire est classique mais réserve quelques twists bien trouvés, la direction artistique est toujours aussi magnifique et la sensation de liberté que l'on a à explorer le monde est grisante. Clairement le jeu de l'année pour moi (mais bon, je triche, j'ai pas encore fait Baldur's Gate 3 😉 )
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